Dans le monde industriel, et notamment à l’ère de l’industrie 4.0 lorsque l’on pense performance et indicateurs de production ( TRS, OEE, TRG…) et MES on assimile cela majoritairement à des données issues des machines et on parle alors d’ acquisition machines. Il est vrai que depuis une décennie les entreprises ont eu tendance à renouveler et moderniser leur parc machines afin de s’appuyer sur des moyens de production efficaces et efficients. Ce phénomène s’est d’ailleurs accentué ces deux dernières années avec le Plan de Relance qui a poussé les entreprises à investir dans de nouveaux équipements, de nouvelles lignes de production, de nouveaux centres d’usinage en vue d’accroître les performances et l’automatisation.
Fortement encouragées par les mesures en vigueur visant à accélérer la transition vers l’ industrie 4.0, de nombreux acteurs industriels ont saisi cette opportunité. Mais qu’en est-il pour les industries moins automatisées quant à l’ optimisation des ressources et de la main d’œuvre ? Pour celles dont la majorité des opérations sont réalisées par les mains de l’Homme ?
Certains secteurs comme l’ automobile lie à la fois l’humain et les machines. Et d’autres industries mobilisent quasiment que les compétences de l’Homme, c’est par exemple le cas pour l’industrie textile, la confection ou encore la construction navale.
Pour ces entreprises, la gestion de la disponibilité des ressources, des compétences des opérateurs et temps main d’œuvre est essentielle. Des solutions et modules adaptés existent afin de permettre aux responsables d’atelier :
Ce reporting orienté homme est indispensable pour un suivi précis de la production. Il prend notamment tout son sens pour des opérations d’assemblage, de montage, de soudage, etc. Bien qu’accompagné par une multitude d’outils et de nouvelles technologies, l’humain reste bien au cœur du processus de production.